Plancher sans terre

Démontage au dessus de l'ancienne cuisine et de la salle de bain. Ici pas de terre, juste le plafond et un plancher bois.

C'est JC qui vient nous épauler aujourd'hui. Avec lui ça passe ou ça casse (notre manche de balai s'en souvient encore!  ;)

  

Demolition man!  L'expression " la patience a des limites" prend tout son sens avec JC...

 

Exercice périlleux: faire passer la brouette sur un terrain bourré de trous et de bosses, et en pente de surcroit. Mission remplie.

En fin de journée, les garçons font descendre le mur qui bouchait le conduit de cheminée à l'étage.

Tout a dégringolé d'un coup! Maintenant y'a plus qu'à ramasser, encore et encore...des pierres et de la terre!

Plancher terre

Cet après-midi, démontage du plancher terre au dessus de notre future cuisine.

Tiens la toiture est percée! il faudra penser à la changer!

ça fait un gros tas de terre et de bois...

  

... et beaucoup de poussière; ce ne sont  pas Christophe et les araignées qui diront le contraire ;)

 

et voilà le travail!

maintenant, il ne reste plus plus qu'à tout évacuer.

Clara récupère consciencieusement, les lattis en châtaignier.

Fin du mur du grenier

Aujourd'hui, on a sorti l'artillerie lourde!

Pascaline et Manu sont venus nous prêter main forte avec Juliette et Hugo.4 paires de bras en plus, ça fait toute la différence!!

 

On commence l'échauffement avec un peu d'arrachage de lambris...

... avant de s'attaquer au reste du mur.

 

Au rez de chaussée, ça bosse dur aussi! les jeunes sont empêtrés dans les différentes couches de lino.

Christophe nous improvise un petit barbecue

Il est 16h30, Pascaline finit d'enlever les dernières pierres.                                         Quelle belle prise!

La poussière sort de tous les côtés! 

 

Le triage des cailloux c'est une affaire de famille!

Vous pouvez être fiers, vous avez bien travaillé. En tout cas un gros merci à vous!

Mur du grenier 2ème acte

Deuxième jour pour le mur du grenier.

Faut être motivé pour travailler sous un toit en tôles en plein été!

Un premier mur à démonter

Ben non, Christophe! pour les murs en paille il faut encore patienter!!

Pour l'instant, il faut démonter le mur du grenier. 

Au démarrage...

Et c'est parti!!

Petit tas deviendra grand...

Bien évidemment, on récupère tout ce qui peut l'être: les pierres, et la terre qui servira pour les futurs enduits.

Une drôle de bête dans la cheminée

Au programme d'aujourd'hui, dégager la cheminée...

Vider le grenier...

Et pour Clara, exhumation du fond de la cheminée des restes d'un animal qui pourrait bien être ceux d'une fouine ou d'une belette.

Une future archéologue?

  

ERDF est passé nous brancher le compteur de chantier; ça ne leur a pris que quelques minutes, mais nous, ça nous a coûté de longues heures de téléphone les semaines précédentes, et une bonne dose de patience. Plus compliqué, c'est impossible.

Démarrage des travaux

Premier repas champêtre sur le terrain.
Un gros merci à papou pour le montage de l'auvent de la caravane et à maminou pour avoir géré les filles durant l'après-midi.

Dans la maison, les travaux démarrent.

Ouverture de la porte (fermée auparavant par un mur de parpaings).

Pas de temps à perdre: le week-end du 7/8 septembre, le maçon encadre un stage sur notre chantier pour la mise en oeuvre d'une dalle chaux-liège.

Nous n'avons qu'un mois et demi pour vider la maison, mettre tous les murs intérieurs à nu, démonter un mur au grenier et un autre au rez de chaussée, pratiquer une ouverture de 1,50 m dans le mur de refend, faire tomber le plancher de l'étage, casser la dalle béton, décaisser le sol d'environ 15 cm (sur 70 m2), mettre en place les évacuations et le hérisson ventilé.

Dégagement de la trappe dans le plafond.

Et les premières découvertes: il y a une niche dans le mur à droite de la cheminée.

On signe!!

Aujourd'hui, c'est la signature chez le notaire, 10 mois après notre première visite de la maison.

A peine sortie de l'office notarial, on se précipite pour voir ce qui se cache derrière les placages de notre future cuisine.

On espérait un peu tomber sur le mur en pierres mais malheureusement, tout est recouvert de ciment.

Le ciment est un véritable fléau pour les constructions anciennes comme la notre. Un mur en pierres monté à la terre "respire" naturellement. Le ciment, lui, bloque l'humidité dans les murs qui vont finir par se dégrader.

Heureusement pour nous, il n'y a qu'une pièce de touchée. Dans les autres, nous avons juste du plâtre recouvert de peinture ou de crépi.